Photo de Juliane CASTAING

Juliane CASTAING

née LECHEVALIER
décédée le 14 juin 2025 à l'âge de 86 ans
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Photo de Juliane CASTAING
Juliane CASTAING
née LECHEVALIER
décédée le 14 juin 2025 à l'âge de 86 ans

Message de la famille

Charles, Jeanne et Laurent CASTAING ont la tristesse de vous faire part du décès de 

Madame Juliane CASTAING

survenu le samedi 14 juin 2025 à Montpellier. 

Un dernier hommage lui sera rendu lors d’une cérémonie civile qui se tiendra le lundi 23 juin 2025 à 11h00 à la Chambre Funéraire Blanc Fargeon, 350 Route de Saint Clément, 34980 Montferrier-sur-Lez.

Un lieu de recueillement est ouvert à cette adresse, où vous pourrez déposer un message en mémoire de Juliane.

C’est également avec reconnaissance et émotion que la famille prendra connaissance de vos témoignages de sympathie et d'affection sur cet espace d’expression dédié au souvenir et à la célébration de la mémoire de Juliane. 

Nous vous remercions chaleureusement pour votre soutien et vos pensées en ces moments de recueillement. 


Un service de plantation d’arbre hommage est disponible ici.

Cérémonie civile

lundi 23 juin 2025 à 11h00
Chambre Funéraire Blanc Fargeon
350 Route de Saint-Clément
34980 Montferrier-sur-Lez

Déroulé des obsèques

1Repos en salon funéraire

Du mercredi 18 juin 2025 à 09h00 au lundi 23 juin 2025 à 11h00

2Cérémonie civile

Le lundi 23 juin 2025 à 11h00

3Crémation

Le mardi 24 juin 2025 à 08h30

Rendez hommage à Mme CASTAING

Plantez un arbre du souvenir

Arbre du sourvenir
volunteer_activismUn hommage durable et symbolique
Locale, drapeau français Planté en France dans le respect de l’écosystème local
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Faites livrer des fleurs à la famille de Mme CASTAING

Bouquet de deuil Empathie
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Conservez un souvenir des hommages rédigés dans un beau livre

Juliane CASTAING 1939 - 2025 Marie Agnès Aujourd’hui, c’est un jour difficile car je dois te dire au revoir alors que je t’aimais tant. Les années passent, je me disais que j'avais une marraine exceptionnelle, gentille, toujours attentionnée. Quelle tristesse pour moi, tu me manqueras énormément, je ne t'oublierai jamais. Au revoir Marraine. Lucas Morel Devant ce douloureux coup du sort, je suis à la fois triste et décontenancée. Je voudrais vous apporter un peu de réconfort, mais, aujourd’hui les mots me manquent. Anaïs Henri Toutes mes pensées affectueuses à vous, qui m’avez fait aimer les mathématiques. Votre gentillesse, votre pédagogie envers nous restera gravé comme un précieux souvenir de mon enfance. Vous avez marqué ma vie bien au-delà de la salle de classe. Reposez en paix.
Le Livre Hommage rassemble les condoléances, photos et témoignages partagés par les proches pour honorer la mémoire de Mme CASTAING.
Témoignage aux proches
19 hommages
5 accompagnés de fleurs
1 accompagné d'arbre du souvenir
  • Il y a 1 mois
    Message d'accueil

    Chers amis, Chère famille,

    Nous sommes réunis aujourd’hui pour dire au revoir à Juliane. Mais avouons-le, dire
    « au revoir » à Juliane, c’est un défi. C’est presque mission impossible. Juliane,
    c’était une présence, une énergie, une couleur, une voix – et parfois, une voix qui
    portait ! Elle aurait sûrement trouvé ce rassemblement « trop solennel », elle qui
    aimait tant les éclats de rire, les débats animés et les discussions qui finissent
    toujours par déborder sur la table du salon, entre deux parts de tarte normande et
    trois récits de voyages.
    Juliane est née à Villers-sur-Mer, mais son enfance, elle l’a vécue en partie à
    Avranches au pensionnat, et pendant la guerre dans une ferme normande. À cette
    époque de notre histoire, il ne s’agissait pas de vacances à la campagne, mais bien
    de mettre les enfants à l’abri loin des bombardements. On imagine mal aujourd’hui
    ce que cela voulait dire : la peur, l’incertitude, mais aussi la solidarité, la
    débrouillardise. Petite fille elle a partagé ces années avec son frère Christian, son
    grand frère, son protecteur et son complice de toujours. Christian, je crois que
    nombreux sont ceux ici qui savent à quel point ce lien fraternel a compté pour elle.
    Juliane disait souvent que grâce à lui, elle ne s’est jamais sentie seule et n’a pas
    perçu la peur.

    Après la guerre, la vie a repris, et Juliane a rencontré Charles, ce jeune homme venu
    du Vietnam, au lycée. Leur histoire, c’est tout un roman : deux mondes, deux
    cultures, deux tempéraments, et pourtant, une évidence. Mais il faut bien le dire, tout
    le monde n’a pas sauté de joie à l’annonce de cette union, à commencer par la
    maman de Juliane. Pleine de bon sens normand, elle s’imaginait déjà le pire elle qui
    n’avait jamais quitté son pays natal, sa Normandie : «Cet étudiant en mathématiques
    si compliquées, venu de loin, repartira un jour dans son pays. Il va emmener sa fille
    et ses petits-enfants. On imagine la scène, sa maman inquiète répétant « Je ne te
    reverrai jamais! » et Juliane déjà passionnée et décidée, avec ce mélange
    d’assurance et de défi qui la caractérisait. Finalement, Charles est resté, la famille
    s’est agrandie, et la maman de Juliane a pu voir ses petits-enfants grandir chaque
    été à Cabourg, et à Montpellier où elle passait les 3 mois d’hiver. Ce qui justifie de
    savoir faire confiance à l’amour et à l’audace de la jeunesse, même si cela donne
    quelques sueurs froides aux mamans.
    Mais il faut dire que Juliane, déjà toute jeune, avait un goût prononcé pour ce qui
    sortait de l’ordinaire. Elle aimait le différent, l’original, ce qui bousculait un peu les
    habitudes et les certitudes. Alors forcément, ce jeune homme venu du bout du
    monde, avec ses histoires, sa culture, son regard neuf, a tout de suite éveillé sa
    curiosité et son intérêt. Pour elle, aimer Charles, c’était aussi affirmer sa façon
    d’exister différemment, de choisir sa propre voie, de ne pas se contenter des

    chemins tout tracés. Et finalement, regardons-nous aujourd’hui : cette famille
    métissée, ouverte sur le monde, unie dans la diversité, c’est la plus belle preuve que
    Juliane avait raison de croire à la richesse de la différence. Nous sommes, tous
    ensemble, la confirmation vivante de ce choix audacieux, de cette passion pour
    l’originalité et l’ouverture qui l’a animée toute sa vie.

    Ils se sont aimés, ils se sont choisis, et ils ont construit ensemble une famille qui,
    aujourd’hui, s’est agrandie : Jeanne, Laurent, puis Clément, Maxime, Matisse, Jade,
    Éliott et enfin Georges et Gustave, ses arrière-petits-enfants. Juliane adorait chacun
    à sa façon, même si elle ne manquait jamais une occasion de rappeler à chacun
    que, dans la famille, l’originalité est une tradition !

    Juliane était une femme de passions, et il faut bien le dire, de beaucoup de passions.
    D’abord, l’enseignement. Professeure des écoles, elle n’a jamais compté ses heures.
    Le samedi, le dimanche, elle était à l’école. Ses enfants, son époux, ses collègues
    pourraient en témoigner : combien de fois ont-ils vu disparaître un jouet, un livre ou
    un souvenir, mystérieusement réquisitionné pour « la classe » ? Oui, chez Juliane, la
    pédagogie passait avant tout, même avant les caprices de ses propres enfants ! Mais
    aujourd’hui, ces souvenirs font sourire, parce qu’ils disent tout de son engagement,
    de sa créativité, de sa générosité.

    Elle a milité pour des pédagogies innovantes, pour l’apprentissage de la lecture, pour
    l’alphabétisation… Pour elle, chaque enfant avait droit à une chance, à une voix, à
    une histoire. Elle croyait que l’école pouvait changer le monde, et elle a tout fait pour
    que ce soit vrai, à sa manière, avec ses idées, ses combats, ses enthousiasmes.
    Juliane, c’était aussi la reine des projets pédagogiques improbables. Il suffit de jeter
    un œil à cette photo souvenir de préparation du carnaval de l’école avec ces
    costumes façonnés de ses mains au prix de longues heures pleine d imagination
    colorée et de la voir au milieu des enfants, vêtue de cet accoutrement bariolé qui
    ferait rougir un arc-en-ciel jaloux, au point de croire que ce costume avait été conçu
    par un artiste inspiré par un feu d'artifice.

    Les enfants étaient ravis, les parents un peu surpris, et Juliane, elle, était au comble
    du bonheur. “L’important, c’est de s’amuser en apprenant !” disait-elle, toujours prête
    à sortir des sentiers battus.

    Mais Juliane, ce n’était pas seulement l’école. C’était aussi l’art, la culture, la beauté
    sous toutes ses formes. Le cinéma ? Elle aurait pu en parler des heures, et elle ne

    s’en privait pas. La peinture contemporaine ? Elle avait ce talent rare de
    s’enthousiasmer pour une toile abstraite. Les heures passées à admirer les œuvres
    modernes, à arpenter les musées, à débattre sur le sens caché d’un tableau ou la
    symbolique d’une couleur… Juliane, c’était une spectatrice passionnée, jamais
    blasée, toujours curieuse.

    Et puis il y avait les livres. Ah, les livres ! Son club de lecture était presque une
    seconde famille. Elle aimait les romans, la littérature, les histoires qui font voyager,
    les personnages qui dérangent, les auteurs qui bousculent. Elle pouvait passer des
    heures à raconter le dernier livre qui l’avait bouleversée, à prêter un roman “qu’il faut
    absolument lire”, à défendre une héroïne incomprise Juliane, c’était aussi cette
    capacité à faire aimer la lecture à ceux qui n’y croyaient plus. Les discussions c’était
    sa spécialité : de la symbolique d’une scène à de la vie de l’auteur.

    La musique classique tenait aussi une place particulière dans sa vie. Grande
    amatrice, elle chantait dans une chorale, et elle n’était jamais la dernière à pousser la
    chansonnette ou selon à chanter à tue-tête. Elle aurait adoré que l’on chante tous
    ensemble, même faux, même fort, juste pour le plaisir d’être réunis.

    Et puis, il y avait une autre passion, plus discrète mais tout aussi révélatrice de son
    esprit : les mots croisés. Ah, les mots croisés ! Pour elle, c’était bien plus qu’un
    simple passe-temps : c’était un sport cérébral, un défi à relever avec un stylo. Elle
    pouvait passer des heures à explorer les arcanes du langage, à démêler les fils
    d'une définition alambiquée, à partir à la chasse aux énigmes verbales, traquant le
    mot juste et prenant plaisir à dompter les subtilités de la langue, passionnément. Elle
    savourait l'art délicat du mot croisé. Ses enfants savaient qu’elle n’entendait plus rien
    du monde quand elle était plongée dans ses grilles de mots croisés.
    Les derniers temps, même très affaiblie par la maladie et dans sa capacité
    d'expression même, elle recherchait encore l’expression la plus appropriée à sa
    situation : devait-elle dire « étancher sa soif » ou « assouvir sa soif » ? Tout un débat.
    Encore une preuve, s’il en fallait, de son amour inépuisable pour les mots, la curiosité
    et les défis intellectuels.

    Et puis, il y avait une passion tout aussi savoureuse : la cuisine normande et une
    certaine gourmandise assumée. Car si Juliane pouvait disserter des heures sur un
    roman ou un tableau, elle savait aussi que la vraie vie, parfois, se joue dans une
    assiette. Les tartes aux pommes, les fromages bien faits et les sauces à la crème

    normande : voilà des sujets sur lesquels elle était aussi intarissable que sur la
    littérature !
    Elle avait ce don de transformer un simple goûter en festin, et il se murmurait dans la
    famille que, pour elle, un plat sans beurre et sans crème fraiche c'était tout
    simplement impensable. Les ingrédients sans lesquels aucun de ses plats ne
    pouvaient vraiment exister.
    Et attention, sa gourmandise était contagieuse : rares sont ceux qui ont su résister à
    ses tartes ou à ses petits plats réconfortants. La cuisine, pour elle, c’était une façon
    de rassembler, de partager, de donner du bonheur autour de la table.

    Vous l’aurez compris, Juliane aimait tout ce qui nourrit l’esprit, l’âme, le cœur. Mais
    alors, le sport… comment dire ? Le sport, c’est une autre affaire.
    Pour Juliane son marathon préféré, c’était la lecture d’un roman-fleuve en plusieurs
    tomes, bien installée dans un fauteuil. Elle n’a jamais saisi l’intérêt de courir après
    quoi que ce soit ou de transpirer pour le plaisir. “Pourquoi courir, quand on peut
    lire ?”, pensant elle.

    Chez les scouts, dans sa jeunesse ce qu'elle préférait c'était d'être de corvée de
    cuisine et le soir de chanter autour du feu de bois. Rien d’autre.

    À l’école, elle aurait volontiers troqué les cours de gym par des ateliers cinéma.

    Juliane était une femme entière, généreuse, parfois impulsive, souvent passionnée,
    toujours authentique. Oui, ses relations pouvaient être tumultueuses – avec ses
    amis, sa famille, ses collègues. Mais c’est parce qu’elle vivait tout à fond, sans filtre,
    sans faux-semblant. Elle ne savait pas faire semblant : elle aimait, elle riait, elle
    s’énervait, elle pardonnait, elle recommençait. C’est pour cela qu’on l’aimait tant, et
    qu’on l’aimera toujours.

    Jusqu’à la fin, Juliane est restée fidèle à elle-même. Gentille, drôle, caustique, parfois
    un brin moqueuse – surtout envers elle-même. Les soignants qui l’ont accompagnée
    l’ont tous adorée, parce qu’elle savait, même dans la maladie, faire sourire, détendre
    l’atmosphère, raconter une anecdote, glisser un mot d’esprit. Elle n’a pas souffert, et
    elle est partie entourée de ceux qu’elle aimait, choyée, accompagnée, aimée.

    Aujourd’hui, nous lui disons au revoir. Mais, soyons honnêtes, Juliane n’est pas du
    genre à disparaître discrètement. Elle continuera de vivre dans nos souvenirs, nos
    gestes, nos éclats de rire, nos débats animés, nos passions partagées. Elle sera là
    chaque fois qu’on ouvrira un livre, qu’on ira au cinéma, qu’on entendra une belle
    mélodie, ou qu’on débattra sur la couleur d’un tableau moderne.

    Merci Juliane, merci maman, merci mamie, pour tout ce que tu nous as donné. Pour
    ta générosité, ton humour, ton amour de la vie. Tu nous laisses une belle leçon : celle
    de vivre pleinement, d’aimer sans compter, de ne jamais cesser de s’émerveiller.

    Nous ne t’oublierons jamais. Et, promis, on continuera de transmettre ta passion des
    histoires pour que jamais elle ne s’essouffle  !

  • Il y a 4 mois
    Karine Meissner–Lechevalier

    Cet hommage n'est visible que par la famille
  • Il y a 4 mois
    Karine Meissner-Lechevalier

    Cet hommage n'est visible que par la famille
  • Il y a 4 mois
    Nguyễn Xuân Ngọc Huyên

    En pensant à toi, Juliane, je me souviens toujours d’une personne joyeuse, pleine de vie et profondément bienveillante. À chaque fois que tu rentrais au Vietnam, nous passions de belles journées avec anh Lộc à visiter, manger ensemble, dans la joie et la bonne humeur. Je n’oublierai jamais ton sourire ni le son de ta voix. Maintenant que tu as trouvé le repos, veille sur anh et sur la famille, car tous vivent aujourd’hui dans un monde sans toi, mais rempli de précieux souvenirs d’une vie heureuse.

  • Il y a 4 mois
    Rébecca Lafon

    C’est avec de beaux souvenirs en tête que je te dis au revoir, tata Juju. Au cours des années, j’ai eu la chance d’entendre de nombreuses histoires et anecdotes illustrant ton énergie et ta brillance. Bien que je n’ai pas pu te voir souvent, ton nom et le sourire qu’il amenait à nos lèvres étaient présents dans nos conversations en famille, et surtout avec maman et papé. J’ai grandi avec l’image d’une tata audacieuse, extravertie, avec un style excentrique et irréprochable.

    Les moments que j’ai pu partager avec toi m’ont permis de comprendre pourquoi tu avais toujours amené le sourire. Ton humour, ton invitation à rire avec toi, et ta curiosité étaient contagieuses. Tu me manqueras énormément, surtout dans tous les moments à venir que j’aurais tant aimé pouvoir partager avec toi, mais je suis réconfortée de savoir que tu savais si bien vivre que tes histoires et ton âme aventureuse continueront de scintiller à travers notre famille.

  • Il y a 4 mois
    Christiane Godet-Thobie

    Cet hommage n'est visible que par la famille
  • Il y a 4 mois
    Jean-Baptiste Lafon

    Cet hommage n'est visible que par la famille
  • Il y a 4 mois
    Jeanne CASTAING

    Cet hommage n'est visible que par la famille
  • Il y a 4 mois
    Lysiane

    Ce petit bouquet de fleurs fraîches pour Juliane que je n’ai pas eu le temps ni la  la chance de connaître. 

    De la part de Lysiane d’Aix en Provence qui connait Jeanne et Pierre. 

  • Il y a 4 mois
    Fanny & Jacques

    Juju,
    Ta venue était toujours une fête imprévue, un éclat de lumière dans ces jours si gris de Normandie.Ton énergie se glissait sous ma peau, comme un souffle venu d’ailleurs, doux et indocile. Tes caresses, tes paroles douces et généreuses,
    m’entouraient d’une tendresse nouvelle, où tout devenait plus léger, plus possible...
    Tu faisais de la vie une joyeuse cantate, rythmée au son de ton rire aux éclats contagieux.Je m’émerveillais de tes audacieuses coiffures, de tes tenues cousues de voyages aux couleurs inattendues…J’aimais plonger dans ta garde-robe enchantée, comme on explore un monde à part, libre et merveilleux.
    Tu étais l’inverse de l’ordre qui m’entourait.
    Là où d’autres dressaient des règles, tu ouvrais des chemins ne serait-ce qu'en mangeant tes fruits dans un verre de vin.
    Et c’est peut-être pour ça que je t’aimais si fort,
    Toi, la fée indocile aux parures éclatantes.

    close Photos postées par Fanny & Jacques
    Souvenir de Madame Juliane CASTAING par Fanny & Jacques
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Juliane CASTAING 1939 - 2025 Marie Agnès Aujourd’hui, c’est un jour difficile car je dois te dire au revoir alors que je t’aimais tant. Les années passent, je me disais que j'avais une marraine exceptionnelle, gentille, toujours attentionnée. Quelle tristesse pour moi, tu me manqueras énormément, je ne t'oublierai jamais. Au revoir Marraine. Lucas Morel Devant ce douloureux coup du sort, je suis à la fois triste et décontenancée. Je voudrais vous apporter un peu de réconfort, mais, aujourd’hui les mots me manquent. Anaïs Henri Toutes mes pensées affectueuses à vous, qui m’avez fait aimer les mathématiques. Votre gentillesse, votre pédagogie envers nous restera gravé comme un précieux souvenir de mon enfance. Vous avez marqué ma vie bien au-delà de la salle de classe. Reposez en paix.
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  • - Format 210 x 210mm sur papier 200 gr. et ½ semi-brillant
  • - Imprimé et façonné en France
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